Saint-Dié-des-Vosges Centre-ville

(Photo Philippe Bonneval : panorama depuis la Roche Saint-Martin))

Commune

https://saint-die.eu/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Di%C3%A9-des-Vosges

Lien vers la vidéo de présentation de la ville

https://saint-die.eu/decouvrir-la-ville/presentation-ville

Circuit patrimonial de découverte, à vélo, de la ville : 12 km

Ce circuit privilégie un parcours à composante historique ; au départ de la gare, il conduit à la chapelle Saint-Déodat, berceau de la ville de Saint-Dié, poursuit par la nécropole des Tiges, continue par l’ensemble cathédral, l’usine Le Corbusier, la rue Thiers avant de pénétrer dans le parc Jean Mansuy et la tour de la liberté, le pont de la République et 2 des 4 fontaines, la place du marché, puis longe les quais Jeanne d’Arc et du stade pour bifurquer ensuite vers le musée du Train-Land, revenir au pont de la République afin de découvrir les 2 autres fontaines, le jardin Simone Veil et l’église Saint-Martin ; jusqu’à la gare.

Historique

Chef-lieu d’un ban mérovingien sur un coude remarquable de la vallée de la Meurthe, la ville de Saint-Dié-des-Vosges s’est pérennisée par de prestigieux monastères et sanctuaires chrétiens, accueillant pèlerins et malades. Si au XIIe siècle, l’église Saint-Dié, érigée en chapitre et ses chanoines essaient de fonder une ville autour de leur collégiale et commencent à l’entourer de murailles et de tours, c’est au siècle suivant que la ville basse-lorraine naît véritablement par une association entre le duc de Lorraine et la collégiale. Après l’incendie du 27 juillet 1757 au centre-ville, la grand’rue est reconstruite sous Stanislas, duc de Lorraine à titre viager. Un urbanisme français rectiligne promeut artères et ponts, ainsi la rue Stanislas, la rue des Trois-Villes, le Grand Pont…

La ville tient son nom du chrétien saint Dié, fondateur de ban et moine chorévêque de rite colombanien (de saint Colomban, moine irlandais), dénommé en latin Deodatus, en français Déodat ou Dieudonné, abrégé par l’usage en Dié.

Patrimoine

  1. La chapelle Saint Déodat

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_du_Petit-Saint-Di%C3%A9

Située dans le quartier Foucharput, la chapelle Saint-Déodat, est un lieu fondateur de la ville de Saint-Dié. Elle est dédiée au moine fondateur de Saint-Dié (originaire d’Irlande) qui vécut vers 669. Elle est située rue Déodat, derrière la gare à 3 mn. C’est aujourd’hui un lieu de culte (Une messe y est célébrée, une fois par an lors de la fête de saint Déodat) et de culture à l’acoustique inimitable où sont présentés des spectacles et des concerts.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Di%C3%A9

(Photo Philippe Bonneval)

(Photo des nouveaux vitraux :  Société Philomatique Vosgienne)

(Photo Philippe Bonneval)

(Photo Philippe Bonneval)

  1. L’usine Le Corbusier : Fabrique de bonneterie Claude-et-Duval

L’usine Claude-et-Duval à Saint-Dié-des-Vosges est l’un des premiers projets de l’atelier de la rue de Sèvres après-guerre, réalisé entre 1946 et 1950. C’est Jean-Jacques Duval, ami de Le Corbusier, qui lui commande une nouvelle usine, afin d’assurer la continuité de production et de moderniser l’usine familiale partiellement détruite pendant la guerre. Malgré l’échec de ses propositions pour la reconstruction de la ville de Saint-Dié, Le Corbusier accepte ce projet pour expérimenter son prototype de l’usine verte, imaginé pour la Cité linéaire industrielle, projet de ville conçu pendant la guerre pour être réalisé près d’Aubusson.

Jean-Jacques Duval, qui souhaite depuis longtemps agrandir et moderniser son usine, demande à Le Corbusier de reconstruire une usine la plus fonctionnelle possible, avec le souci de garantir aux employés d’excellentes conditions de travail dans un environnement d’une grande qualité esthétique.

https://www.fondationlecorbusier.fr/oeuvre-architecture/realisations-usine-claude-et-duval-saint-die-france-1946-1950/

Architectes de l’édifice : Jeanneret Charles-Edouard ; dit Le Corbusier (architecte) ; Wogenscky André (architecte) ; Bodiansky Vladimir (architecte, ingénieur)

https://lecorbusier-worldheritage.org/manufacture-a-saint-die//manufacture-a-saint-die/

Construite de 1946 à 1948, l’usine en béton armé est montée sur pilotis. La conception verticale de l’édifice, inhabituelle pour un bâtiment industriel, résulte à la fois de la surface limitée de l’emprise au sol, de la nécessité d’entreposer les réserves de charbon, de garer les deux cents vélos du personnel et, dernière raison mais non la moindre, de donner à ce dernier un espace agréable et lumineux de travail.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Usine_Claude-et-Duval

https://saint-die.eu/decouvrir-la-ville/patrimoine-architectural/le-corbusier/le-corbusier-usine-verte-de-saint-die-des-vosges

https://fr.wikipedia.org/wiki/Modulor

L’usine est classée Monument Historique en 1988 et au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2016.

Lien vers la vidéo de présentation de l’usine : https://www.youtube.com/watch?v=xk5MBLv2CRI

La Manufacture de Saint-Dié-des-Vosges, usine Claude et Duval est une usine textile toujours en activité aujourd’hui. La société fabrique essentiellement des produits de luxe, en maille, pour femmes. Elle collabore avec les grands noms de la haute couture française, belge et américaine.

3. La Cathédrale et son cloitre

La cathédrale Saint-Dié est une cathédrale catholique romaine située à Saint-Dié-des-Vosges, dans le département des Vosges. Elle forme avec l’église Notre-Dame de Galilée et le cloître qui les relie, un ensemble architectural remarquable, véritable groupe cathédral, riche d’apports successifs et de styles différents, mais unifié par une couleur caractéristique, celle du grès rose des Vosges.

https://www.culture.gouv.fr/regions/DRAC-Grand-Est/actu/MH-Etat/Saint-Die-Vosges-Cathedrale-Saint-Die?limit=30

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-Di%C3%A9_de_Saint-Di%C3%A9-des-Vosges

La façade fut élevée de 1711 à 1714 par l’Italien Giovan Betto, qui participa par ailleurs à la construction de plusieurs églises lorraines.

Au milieu des années 1980, des vitraux modernes non-figuratifs furent réalisés sur les dessins d’artistes contemporains réputés.

L’orgue qui équipait la cathédrale avant la Seconde guerre mondiale a été détruit en 1944 par les allemands. La cathédrale resta sans instrument à sa mesure pendant plus de soixante ans, et en 2006, l’État (propriétaire de la cathédrale) a lancé la construction d’un nouvel orgue, après un appel d’offres, qui a été réalisé par le facteur Pascal Quoirin en 2008/2009.

Véritable passerelle entre l’église Notre-Dame de Galilée et la cathédrale, le cloître gothique est l’un des plus vastes de l’Est de la France. Le passage à la Renaissance y est déjà perceptible, comme en témoignent les pilastres de la galerie nord.

En 1944 la plupart des vitraux ont été détruits. Au début des années 1980, le peintre Jean Bazaine fut chargé d’étudier un projet complet de vitraux contemporains d’une superficie d’environ 300 m². Tirant parti de la lumière naturelle, il proposa des tons plus chauds vers le nord et plus froids vers le sud et, après plusieurs ajustements, la réalisation des 53 baies fut répartie entre dix peintres aux sensibilités différentes, mais tenus par une composition d’ensemble sur le thème mort et résurrection. Les derniers vitraux furent posés fin 1987.

Vitrail de Jean Le Moal mitoyen au musée Pierre Noël ; vues de l’intérieur et de l’extérieur

4. Le musée d’art et d’histoire Pierre Noël

https://www.ca-saintdie.fr/decouvrir/musee-pierre-noel

Lien vers la vidéo de présentation du musée :

https://youtu.be/s-YeZGqOxm4

https://www.ca-saintdie.fr/decouvrir/musee-pierre-noel/collections

Quelques photos des 7 sections du musée

5. La rue Thiers et la place du marché

Lien vers la vidéo de l’histoire de la rue Thiers et de la place Jules Ferry à la Belle Epoque (Source : Rémi Fressange sur YouTube) :

https://www.youtube.com/watch?v=TOKyB_C1Cz0

Description historique (Source Ministère de la Culture)

https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/ACR0000622

En novembre 1944, les Allemands battent en retraite et quittent Saint-Dié. Dans le mouvement, ils détruisent le centre historique de la ville (politique de la terre brûlée : sur 3 339 immeubles, 3 144 sont totalement ou partiellement détruits et plus de 10 500 habitants sont déclarés sinistrés). De nombreux équipements publics, centres commerciaux et usines sont dévastés. À la Libération, la municipalité et le ministère de la Reconstruction de l’Urbanisme (MRU) doivent répondre à de nombreuses urgences : reloger provisoirement les sinistrés (1945-1946) tout en réfléchissant aux normes des logements pérennes, activer le déminage et le déblaiement tout en assurant le bon déroulement des chantiers, concevoir des plans de reconstruction qui tiennent compte des schémas préexistants, des remembrements et des nouveaux besoins. Saint-Dié connaît alors des transformations importantes à l’image de nombreuses villes françaises, de grandes ou de petites dimensions, comme Orléans, Le Havre, Amiens, Toulon, La Rochelle ou Abbeville. On observe néanmoins une rapidité d’exécution plus grande dans le Grand Est, et particulièrement dans Les Vosges, prêt plus tôt à recevoir les crédits du MRU.

Saint-Dié, (devenue Saint-Dié-des-Vosges en 1999) avait déjà connu une reconstruction au XVIIIème siècle (plans de Stanislas Leszczynski en 1757) à la suite d’un violent incendie.

La rue Thiers comme le centre-ville de Saint-Dié a reçu, du ministère de la Culture, en 2015, le label du cœur de ville « Patrimoine du XXe siècle » au titre de l’importance et de l’homogénéité de son urbanisme résultant de sa reconstruction courant des « années 50 »

6. La tour de la liberté

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_la_libert%C3%A9_(Saint-Di%C3%A9-des-Vosges)

La tour de la liberté est un monument de Saint-Dié-des-Vosges, ressemblant à un grand oiseau blanc posé au milieu du parc Mansuy. Elle symbolise la recherche de tous les peuples, la liberté.

Lors de la commémoration du bicentenaire de la Révolution, deux tours sont érigées dans le jardin des Tuileries à Paris. Les deux « tours de la Liberté » furent inaugurées le 9 mai 1989.

Après les fêtes du bicentenaire, les deux tours devaient être démontées. La ville de Saint-Dié-des-Vosges obtint une des deux tours contre un franc symbolique. La tour est remontée place Jules Ferry, face à l’Hôtel de ville. Elle y fut inaugurée le 14 juillet 1990.

La superstructure en acier est fabriquée dans les Vosges à Golbey par l’entreprise Viry. Ses créateurs, les architectes vosgiens Nicolas Normier et Jean-Marie Hennin, l’ont baptisé « cathédrale de l’espoir » car elle est dédiée aux personnes à mobilité réduite, « à tous ceux pour qui tout espoir de conquête s’arrête devant l’incompréhension et la peur des autres ». Les deux concepteurs ont été inspirés par le film Jonathan Livingston le goéland et par les vieux avions du musée du Bourget.

Lien vers la vidéo de présentation de la tour :

https://www.google.fr/search?sca_esv=a4b2eda68720e90d&sca_upv=1&q=tour+de+la+liberte+saint+die+des+vosges&tbm=vid&source=lnms&prmd=ivnbz&sa=X&ved=2ahUKEwjEjJ_7h-KFAxXJfKQEHQQaDQwQ0pQJegQIDBAB&biw=1280&bih=567&dpr=1.5#fpstate=ive&vld=cid:cf3b658c,vid:bYyj79qFgtY,st:0

Haute de 36 mètres et d’un poids de 1440 tonnes, elle a ses fans et ses détracteurs. Du belvédère, les touristes peuvent admirer le paysage et la fameuse ligne bleue des Vosges immortalisée par le testament de Jules Ferry.

Sur la terrasse (114 marches à grimper), une exposition permanente intitulée « Fenêtre sur le Parc » présente trois panneaux d’interprétation du paysage et du patrimoine qui permettent de découvrir les richesses paysagères et environnementales aussi bien urbaines de proximité que rurales du Parc des Ballons des Vosges.

Lien vers la vidéo de présentation de l’exposition :

https://www.youtube.com/watch?v=RKNjmapQ6kM

Panneau Sud :

•    Bassin versant Meurthe : Fait remarquable, depuis ce point de vue on embrasse du regard toute la tête du bassin versant de la rivière La Meurthe. Elle est constituée d’un chevelu de ruisseaux de 1er catégorie (meilleure qualité piscicole de cours d’eau), favorable à la truite fario.

•    Continuité écologique : Que ce soit pour les hauts-fers (scieries hydrauliques), l’industrie du textile ou du papier, ou l’irrigation des prairies, la rivière a été aménagée par la main de l’homme pour ses activités. Ces aménagements perturbent le déplacement des poissons et des alluvions, ce qui a conduit à la disparition des grands migrateurs comme le saumon, emblème de la principauté de Salm. Aujourd’hui les cours d’eau sont progressivement restaurés pour les rendre de nouveau fonctionnels et ainsi améliorer la qualité de l’eau.

Panneau Ouest :

•    Forêts du Massif : La forêt emblématique du Massif vosgien est la hêtraie-sapinière. Avec l’aide des pucerons, les abeilles en tirent le fameux miel de sapin. C’est aussi le lieu de vie du plus grand pic européen, le Pic Noir. Si vous tendez l’oreille, vous entendrez peut-être son tambourinage caractéristique. Les forêts thermophiles (qui aiment la chaleur) du bassin de Saint-Dié-des-Vosges sont également réputées pour la qualité de leurs pins sylvestres. Ces forêts, qui occupent les versants sud, font l’objet de stations génétiques qui servent au reboisement de jeunes peuplements.

•    Roches sommitales : Le massif gréseux du nord vosgien se caractérise par ses roches sommitales, comme les roches St Martin ou La chaise du roi sous vos yeux. Ces promontoires naturels forment des points de vue remarquables sur les vallées. Ils sont également des lieux de reproduction pour des oiseaux rupestres (inféodés aux rochers) comme le Faucon Pèlerin ou le plus grand rapace nocturne du monde, le Hibou Grand-Duc. Au bord de la disparition dans notre secteur il y a seulement quelques décennies, ces espèces sont aujourd’hui en expansion.

•    Chauves-souris : Plusieurs gites à chauves-souris situés dans les massifs forestiers autour de la ville de Saint-Dié-des-Vosges ont obtenu le classement au réseau Natura 2000 (sites naturels de l’Union Européenne de grande valeur patrimoniale) Ce sont généralement des aménagements créés par la main de l’homme puis abandonnés faute d’utilité. C’est le cas du tunnel ferroviaire de Vanémont situé sur la commune de Saint-Léonard.

Panneau Nord :

  • Amphibiens à Bure : Outre son aspect historique, le camp celtique de la Bure accueille également une belle population d’amphibiens. « Amphibien » signifie double vie, car après la période des amours, grenouilles, crapauds et autres tritons quittent les milieux aquatiques pour divaguer sur la terre ferme. Leur forte présence sur ce site démontre le bon état de ce milieu forestier.
  • Site Natura dans la vallée de la Meurthe : Les prairies naturelles sont en forte régression partout en France. Pourtant elles sont les garantes d’une faune et d’une flore diversifiée. Encore bien représentées, les prairies naturelles à sanguisorbe de la vallée de la Meurthe accueillent un papillon particulièrement fragile : l’azuré des paluds. A ce titre, elles bénéficient d’un classement au réseau Natura 2000.
  • Lynx du massif du Donon : Autrefois disparu, le lynx a été réintroduit dans le massif des Vosges dans les années 80. Le dernier spécimen recensé, Van Gogh, a pour territoire le massif du Donon et son temple qui culmine à 1009 m.

Vue sur la Roche Saint-Martin

7. Le parc Jean Mansuy (Ancien maire de Saint-Dié de 1947 à 1965)

Jardin des géographes

Jardin japonais

Skate-park

8. Le pont des jumelages

9. Le pont de la République et ses 4 fontaines des rivières affluentes de la Meurthe à Saint-Dié

10. Le jardin Simone Veil : aires de pique-nique et de jeux

https://fr.wikipedia.org/wiki/Simone_Veil

11. L’église Saint-Martin

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Martin_de_Saint-Di%C3%A9-des-Vosges

Chemin de croix, en relief, d’Anselme de Warren

L’église comprend 14 stations originales réalisées en 1887. Elles sont en relief, composées de personnages en céramique (terre cuite), nichées dans un tableau avec encadrement de 2 m de haut sur 1 m de large. Elles sont l’œuvre du statuaire déodatien (sculpteur et potier) Anselme de Warren, résidant à Saint-Dié à la fin du XIX° siècle. Elles étaient initialement installées à la chapelle de l’hôpital de Foucharupt, ancien séminaire de Saint-Dié. Elles ont été nettoyées et démontées par les services techniques de la ville et par l’équipe du Musée Pierre Noël puis restaurées et déménagées à l’église Saint-Martin en 2021

Lien vers la vidéo de restauration et d’installation du chemin de croix :

https://youtu.be/UFdhZ9lIUBQ

12. Le musée du train miniature : Train Land

Le musée est situé 7-9 rue du 12ème Régiment d’Artillerie à Saint-Dié, à proximité de l’itinéraire de la Meurthe à vélo, à 800 m du pont situé quai du stade.

https://www.trainland.fr/

Trainland est un musée animé du train miniature. Quatre modélistes passionnés, présentent, depuis 2016, l’histoire et l’évolution du transport ferroviaire depuis la fin du 19ème siècle jusqu’à notre époque à travers des maquettes de trains (plus de 1000 locomotives ainsi que 15 réseaux à différentes échelles et 12 000 pièces exposées).

C’est un musée unique et un monde merveilleux et magique. Un univers de rêve et de magie où se mêlent, dans un endroit exceptionnel, des décors et des dioramas tous plus féériques les uns que les autres. Un dépaysement total et un merveilleux voyage pour découvrir le monde au travers des petits et grands trains.

Sur une surface de 500 m², vous découvrirez par un itinéraire les particularités et l’histoire des différents pays que vous traverserez en famille avec bonheur.

Lien vers la vidéo du reportage (3mn) de France 3 :

https://youtu.be/33hF8RqKa-E

Vélocistes

https://www.pagesjaunes.fr/annuaire/saint-die-des-vosges-88/velociste

Clubs et associations liées au vélo

L’Union Cyclotouriste Vosgienne

http://ucv88.ffvelo.fr/

L’atelier d’autoréparation « L’Engrenage »

https://lengrenage.fr/

Balades à vélo autour de Saint-Dié

Balades référencées dans le site internet LorVélo

https://www.lorvelo.fr/balades-velo-alsace-lorraine-bourgogne.php

Les 3 Voies Vertes dans les Vosges

https://www.ca-saintdie.fr/deplacements/voie-verte

Les balades autour de Saint-Dié : La boucle du patrimoine N° 21 ; le Kemberg

Au départ de l’office de tourisme de Saint Dié, découvrez une jolie balade au cœur de la forêt, qui arpente le massif gréseux du Kemberg, autrefois lieu d’extraction du cuivre et selon la légende, sanctuaire des nains des vallées et des profondeurs ! Un dénivelé positif total de 650m, réparti sur l’ensemble du parcours, qui chemine à travers de belles allées forestières, de petites routes peu fréquentées et de villages de moyenne montagne.

https://bike.vosges.fr/fr/famille/details/62-le-kemberg

Autres parcours

https://www.komoot.com/fr-fr/guide/1528663/itineraires-et-pistes-cyclables-autour-de-saint-die-des-vosges

https://www.vosges-portes-alsace.fr/itineraires-circuits/a-deux-roues/

Tourisme

L’office de tourisme est situé, non loin, de la tour de liberté dans le bâtiment appelé La Boussole

2 Place Jules Ferry à Saint-Dié

https://www.vosges-portes-alsace.fr/fiches/940001324-office-de-tourisme-de-saint-die-des-vosges/

L’office de tourisme propose des visites libres des circuits « Street Art » ainsi que des visites guidées de la ville et du site de la « Nécropole Nationale Les Tiges » (classé UNESCO).

Evénement : Le festival international de géographie

https://www.fig.saint-die-des-vosges.fr/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Festival_international_de_g%C3%A9ographie

Le Festival international de géographie de la ville de Saint-Dié-des-Vosges est une manifestation annuelle à la fois scientifique et grand public organisée par l’ADFIG (Association pour le Développement du FIG) depuis 1990.

Géographes, chercheurs, universitaires, enseignants du secondaire et simples amateurs de géographie humaine ou physique se donnent rendez-vous dans cette ville vosgienne, traditionnellement lors du premier week-end du mois d’octobre, afin de débattre d’un thème et/ou sur un pays ainsi que pour réfléchir aux enjeux de la place et de la transmission de cette discipline.

Des géographes mais également des romanciers, des essayistes, des sociologues, des hommes politiques, des philosophes interviennent au cours des nombreuses tables rondes, cafés-géographiques et conférences-débats proposées à Saint-Dié-des-Vosges et dans les communes environnantes durant les trois jours pleins que dure le festival. Grands entretiens, tables-rondes et conférences-débats sont complétés par le Salon du Livre Amerigo-Vespucci – où l’on décerne chaque année le Prix Amerigo-Vespucci –, la vitrine scientifique du Salon de la Géomatique, les cafés géographiques, les expositions, les films ainsi que par un Salon de la Gastronomie.

La vocation de Saint-Dié-des-Vosges pour la géographie résulte du baptême de l’Amérique en 1507 dans cette ville par les membres du Gymnase vosgien, dont Martin Waldseemüller, auteur de la première carte du Nouveau Monde.

Hébergement

https://www.vosges-portes-alsace.fr/hebergements/tous-nos-hebergements/

Restauration

https://www.vosges-portes-alsace.fr/restaurants/tous-nos-restaurants/

Philippe Bonneval

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